IF LOVE ONLY EXIST IN MY DREAM, DON'T WAKE ME UP

Depuis toute petite, elle a toujours eu l'habitude de se peigner les cheveux chaque matin et chaque soir, chose normal dans la haute société, soit mais pour une fille de paysan les cheveux ne sont pas une priorité. - Elle prend également très soin de sa tenue et aime porter des choses propres et de bons goûts. - Même si elle ne porte pas la basse société dans son coeur, elle reste sa société, sa classe sociale. Petite, elle ne comprenait réellement ces différences entre les personnes. - Elle reste tout de même une fille très nature et adore les promenades. - Pendant une courte période de son adolescence, Daniella s'amusait à recoudre ses vêtements pour les rendre unique et ne pas à avoir se lasser de ses vêtements de basse qualité, maintenant c'est une autre chose. - Malgré ses manières comme celle d'une femme de haute société, elle déteste le thé. Parfois elle se force à le boire pour se donner un genre mais elle ne supporte pas le thé. Elle préfère encore boire du café. - Danny connait bien plus de choses sur les personnes de la haute société qu'elle ne devrait.

« Ma mignonne et si belle fille. » L'homme prit la petite fille en question et la posa sur ses genoux. Elle le regardait avec de grands yeux, elle lui souriait, d'un sourire des plus vrais. « Tu le sais que tu es belle ? » Dit-il en la chatouillant, elle répondit par son rire aiguë et en se tortillant. Il continua ses chatouilles quelques instants et se calma ainsi que la jeune fille. « Je ne pourrai jamais te donner la vie de tes rêves, mais sache que je ferais tout ce qui est en mon pouvoir pour continuer de voir ce si beau sourire. » Daniella regarda son papa et le prit dans ses bras. Elle ne comprenait pas ce qui lui disait, elle ne comprenait pas ce qu'il voulait dire mais peu importe. Elle posa sa tête dont les cheveux blonds retombaient sur ses épaules, sur le torse de l'homme. Au fur et à mesure que la petite Daniella grandissait, elle comprit les paroles de son père. Elle gardait ce même sourire mais par la suite, elle se sentait obliger de se forcer, ne voulant décevoir son père. Pourtant, Danny n'avait pas à se plaindre. Elle eût une enfance très belle, même si elle n'avait pas eu la chance d'avoir la dernière poupée par le fabricant de poupée de la ville, elle restait une petite fille très épanouie avec ses petites poupées. Elle pensait que cette vie la satisferait malheureusement ses désirs changeaient. Elle ne voulait plus de tout ça, elle ne voulait plus fréquenter les filles de la basse société qui voulait pour leurs anniversaires une petite peluche. Non, Daniella aime les bonnes et belles choses. Elle prenait très soin de ses cheveux et de sa toilette, comme maintenant à vrai dire. Elle se démêlait les cheveux chaque matin et soir, ses parents ne pouvaient lui payer une belle toilette alors elle faisait toujours attention à ne jamais salir ses habits. Elle se faisait toujours belle, pour se faire remarquer en quelque sorte. Elle ne pensait jamais se faire remarquer jusqu'à à un soir de fête. Une petite fête, où quelques forains c'étaient installer avec leurs machines pour se divertir venait d’apparaître en ville. C'était une fête de paysan, Daniella ne voulait réellement y aller malheureusement sa mère ne pouvait venir suite à beaucoup de fatigue, alors son père se retrouvait seul, elle finit par accepter. Elle avait enfiler une petite robe noir avec de petites chaussures noir qui s'accordaient parfaitement. Nul besoin de se couvrir énormément, il faisait chaud à cet période. Ils marchèrent quelques minutes pour se retrouver au milieu de cet bande de joyeux paysans. Tous les enfants du quartier étaient sortis, ne voulant pas manquer cet évènement ainsi que d'anciennes camarades de classes de Danny. Elle aurait pu se passer de cet sortit. Son père l'abandonna à la minute qu'ils arrivèrent pour se ruer à une petite machine à peluches. Elle s'éloigna de la place pour s'installer sur un banc près d'un arbre. Elle aurait tout de même du prévoir quelque chose de plus chaud, l'air se rafraîchissait. Elle jetait quelques regards curieux autour d'elle quand elle entendit une bande de jeunes hommes apparaître dans le coin de la rue. Elle les regardait d'un oeil assez indifférent, ils semblaient avoir bu, mais tout de même elle restait assez curieuse sur les gestes de ces jeunes hommes et particulièrement d'un. Il rigolait très fort, mais c'était sans doute l'un des seuls qui arrivaient encore à marcher droit. Elle les lâcha du regard quelques instants pour chercher son père, qui malheureusement avait disparu. Quand elle tourna la tête, elle vit le jeune homme en question, assez loin, s'approcher d'elle. Ses amis s'étaient engouffrer dans la foule. Elle le regarda d'un air assez hautin. Elle ne l'avait jamais vu, pourtant, elle qui était une enfant du pays et qui connaissait tout le monde, ne l'avait jamais vu. Mais pour venir dans ce genre de fête, il ne devait être qu'un enfant de paysan. « Que faites-vous seule Mademoiselle ? » Il avait une voix très douce contrairement à son rire. Elle prit un ton assez sec. « Et bien, j'attends mon père ! Et il ne devrait pas tarder d'ailleurs. » Elle ne le regardait plus d'ailleurs, elle faisait mine de chercher son père qui avait du retrouver certains de ses amis. « Je vais attendre avec vous. » S'approchant encore plus de la jeune femme et aussi de la lumière, elle pût enfin distinguer les traits de son visage. C'était un très bel homme, il sentait une très bonne odeur d'ailleurs. Il s’assit à ses côtés. « Je peux très bien l'attendre toute seule. » Elle pût distinguer un rire moqueur dans le rire qu'il venait de faire. Elle le regarda en coin. « Je le sais bien, mais la compagnie n'a jamais gêné personne. »